VALC : tout s’explique

Les plus jeu­nes d’entre vous ne peu­vent pas le savoir, mais il fut un temps où les jeux Silent Hill étaient vrai­ment bons. Le deuxième volet de la série, sur PS2, se hisse même parmi les tous meilleurs jeux hor­ri­fi­ques jamais con­çus, prin­ci­pa­le­ment grâce à son scé­na­rio truffé de réfé­ren­ces à la psy­cho­lo­gie col­lec­tive, déran­geants et mal­sains, ainsi qu’à ses musi­ques si uni­ques et à son esthé­ti­que crade à sou­hait (c’est d’ailleurs dans cet épi­sode qu’appa­raî­tra pour la pre­mière fois le célè­bre Pyra­mid Head dans un rôle des plus glau­ques…).

Aussi, on ne peut que saluer les coro­nes des déve­lop­peurs pour avoir osé plan­quer dans un tel titre une fin alter­na­tive tota­le­ment débile, en total déca­lage avec le reste du jeu. Culte !

Anne Ferret

J'ai créé Café Gaming lors d'un moment d'égarement, il y a bien trop longtemps. J’aime SEGA, Tetsuya Mizuguchi et Rock Band ; je fais de la musique sous le pseudonyme Lucifer Cedex.

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